La boucle de gameplay est simple et cool. Vais faire un test COVID pour clarifier cette perte de goût
- mecton qui lance Sonic Frontiers
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Starshot: Space Circus Fever (N64)
Analyse de Starshot: Space Circus Fever
La question est : Pourquoi ? Oui, pourquoi avoir sorti Starshot : Space Circus Fever six mois plus tard en version NTSC ? En faits, Starshot est disponible en France depuis Noël 98. La conversion du format PAL ne suffit pas à justifier ce retard de sept mois. Est-ce que ce serait pour améliorer le jeu qui n’a pas reçut un accueil chaleureux en Europe ? Sûrement pas.
Les graphiques sont un des points forts du logiciel. Infogrames a aussi mis l’accent sur la variété. Il y a plus de trois cents personnages tout au long du jeu. Les différents designs des niveaux et des modèles sont d’une beauté rarement vu provenant d’une compagnie tierce. Les effets de lumière sont présents en petit nombre ainsi que certains effets de transparence et d’explosion.
Visuellement, ce jeu peut impressionner, mais à cause de tout cet appareil étonnant, la qualité de l’animation tombe souvent bien bas ce qui a des effets loins d’être souhaités sur le Gameplay. Un autre défaut qui m’a assez agacé, le pop up. Sans dire qu’il est aussi important que ceux retrouvé dan Daytona USA, il est défénitivement remarquable dans le mauvais sens du terme. Infogrames aurais probablement dû opter pour des graphiques un peu moins flamboyants et une animation fluide et qui suis l’action du jeu.
Infogrammes nous offre ici le standard à lequel nous avons été habitué maintes et maintes fois dans la catégorie «copie de Mario 64» Le personnage principal lance quelques cris à la Banjo-Kazooie et parle (marmonne) à son patron entre chaques niveaux. Pour agrémenter le tout, la musique reflète bien chaques tableaux. Toutefois, elle tend à devenir achalante à la longue. Franchement, je n’ai pas à me plaindre. Starshot est standard côté audio.
Dans un univers parrallèle, tout commence lorsque l’employeur de Starshot, l’héros du jeu, se fait faire niquer une de ses fusée-spectacles. On vous donne dès lors la tâche de trouver le coupable. En poussant vos études sur cette planète, vous trouver le coupable. L’odieux Virtua Circus, un compétiteur, veut s’approprier votre territoire et automatiquement, votre gagne-pain. La présentation du jeu en tant que telle est originale est simple. Le choix de la langue est une option bien appréciée comme dans la plupart des jeux faits par des compagnies françaises.
Starshot viens avec assez de défauts de ce côté pour donner quelques maux de tête aux joueurs (malheureux?) possédant ce jeu. L’animation n’aidant déjà pas, Infogrames nous lance en pleine figure une caméra fonctionnant aussi bien qu’une voiture GM (mon opinion). Cette déficience devient très présente lorsque Starshot se retrouve dans un endroit petit et fermé. J’ai eu toute la misère du monde à m’orienter selon le sens de cette fichue caméra. De plus, elle change de perspective sans donner de pré-avis ce qui est irritant au plus haut point. Imaginez, vous essayer de viser vers un robot qui vous a pris comme cible pour essayer son tout nouveau bazooka et sans crier «Gare !», la caméra fait un gros plan sur la passerelle à côté de vous ?!/$%&*¢²³¶ @. Le joueur contrôle Starshot de la même façon que Mario donc, la caméra est d’une importance primordiale ce qui fait que lorsqu’elle change de place, notre héros aussi. Vous voyez ?
Le jeu devient de plusen plus ennuyant avec ces défauts qui nous font mourir continuellement au même endroit. Les programmeurs auraient probablement dû prendre le sept mois qu’ils ont eu pour rehausser la qualité de l’animation et celle du système de caméra. Starshot : Space Circus Fever a finalement passé le printemps comme tient-porte.
Il est facile de dire qu’avec les différents designs/missions inclus dans Starshot : Space Circus Fever, que ce logiciel aurait pu être mieux, beaucoup mieux. Avec un peu plus d’argent et de temps, d’après moi, Infogrammes aurait pu remporter quelques choses de gros monétairement parlant. Il y aura toujours cette foutue caméra suspendue au-dessus de la tête de Starshot comme l’épee de Damoclès. Je conseille de louer au ieu d’acheter.
Par Carl_Pruneau
Le 23 novembre 1999 | Catégories : Analyses
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