La boucle de gameplay est simple et cool. Vais faire un test COVID pour clarifier cette perte de goût
- mecton qui lance Sonic Frontiers
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Banjo-Kazooie (N64)
Analyse de Banjo-Kazooie
Quand Banjo-Kazooie est sorti je n’osais pas avouer qu’il était meilleur que Mario 64 et pourtant quand je l’ai eu j’ai tout de suite vu la différence et l’évolution dans le domaine de la plate-forme. Les développeurs des Donkey Kong Country, Killer Instinct et Golden Eye ont encore montré qu’ils pouvaient faire un jeu extraordinaire.
Les paysages sont bien faits et colorés comme l’ensemble du jeu, Banjo et Kazooie eux-même sont dessinés avec un grand soin.
Je sais pas si vous remarquez, mais les petits détails graphiques d’un jeu donne une plus grande sensation du monde en 3D : il y a ces moments où l’on nage et sans que l’on s’en rende compte on voit les cercles dans l’eau ou les gouttes qui éclaboussent qui sont très bien faites.
Quand vous regardez les paysages au loin avec ces arbres, morceaux de bois ou autres on voit ces détails des graphismes qui donnent au jeu un grand plaisir à visiter les mondes immenses.
Il y a beaucoup de plantes sauvages comme des arbres, fleurs, lianes… qui sont graphiquement superbes. Le jeu est très coloré pour attirer le regard et donner au joueur un sentiment de monde imaginaire. Les animations sont originales et rapides. Les effets d’ombres et lumière sont bien réussis.
C’est dans ces petits détails qu’on voit tout le travail de Rare et fait de ce jeu un jeu exceptionnel.
Dans Banjo-Kazooie il ne manque pas de bruitages, il y en a vraiment beaucoup et de très rigolos surtout que chaques personnages du jeu a sa propre voix (et il y a beaucoup de personnages).
Les musiques vont très bien avec l’endroit où vous êtes et ne s’arrêtent pas d’un coup si vous changez de lieu mais changent progressivement. Par exemple quand vous finissez le dernier niveau et que vous allez combattre la sorcière il y a une musique que je ne pourrais pas expliquer qui devient de plus en plus grave et angoissante selon que vous vous rapprochez de la fin et donc du combat avec Gruntilda. Je trouve ça très bien fait et très original.
L’histoire est plutôt classique et fait penser à un conte que nous connaissons tous.
Banjo est tranquillement endormi dans sont lit pendant que la sorcière (Gruntilda) du haut de son repère demande à son chaudron qui est la plus belle, le chaudron répond qu’il y a une oursonne habitant dans la montagne Spirale qui est la plus belle. La sorcière devenant rouge de rage (elle est verte de nature) prend son balai et s’envole pour kidnapper Tooty (l’oursonne).
Banjo est toujours endormi lorsque Tooty, la sœur de Banjo se fait kidnapper. Kazooie, réveillée par le bruit, tombe par terre et tente d’éveiller l’ours qui met un bon moment à ouvrir les yeux. Une fois dehors Tootie a déjà été enlevée par la sorcière mais heureusement il y avait Bottle la taupe savante qui a tout vu et explique à Banjo et Kazooie ce qui s’est passé puis ceux-ci partent à l’aventure.
Le principe de Banjo-Kazooie est simple : vous commencez de la maison de Banjo d’où il vient de se réveiller et vous faites la rencontre de Bottle qui va vous apprendre les mouvements de base (au départ Banjo et Kazooie ne savent rien faire) puis vous partez pour le repère de Gruntilda et commencez l’aventure.
Au cours de votre aventure vous rencontrerez plein de personnages plus délirants les uns que les autres et apprendrez d’autres mouvements. Dans certains mondes vous aurez même à vous transformer en animaux pour pouvoir accéder à des lieux inaccessibles.
L’interaction de ce jeu est incroyable, le système d’apprentissage au fur et à mesure est très efficace pour connaître tous les mouvements et s’en rappeler (d’ailleurs d’autres développeurs devraient se baser sur ce système).
Banjo-Kazooie est un jeu immanquable pour tous les possesseurs de Nintendo 64, non seulement ce jeu est rigolo mais aussi très envoûtant. Le meilleur jeu de plate-formes toute consoles confondues.
N’hésitez pas à l’acheter, vous ne serais pas déçus.
Encore un travail quasiment parfait de chez RARE et ça ne sera pas le dernier.
Par Tim_Connelly
Le 30 juin 1998 | Catégories : Analyses
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