De ce point de vue, Doom est un bien meilleur Overwatch
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F-Zero GX (NGC)
Analyse de F-Zero GX
La saga F-Zero continue son bonhomme de chemin et fait donc un arrêt par notre Cube adoré. La série a commencé sur la Super NES notamment grâce au fameux Mode 7 : ce mode permettait de faire des rotations et des zooms (entre autres) et donc de faire défiler la piste sous le vaisseau… (STOP !)
Bon ok ! ^^’
Un petit frère lui succéda et donc F-Zero 2 vit le jour, mais l’épisode le plus connu est sans aucun doute celui sur N64, à savoir F-Zero X !
Il fut pour beaucoup (dont moi) une petite merveille grâce à son côté speed et à sa maniabilité sans accroc !
Mais il a été critiqué pour ses graphismes pauvres (notamment à cause de ses décors inexistants, mais cela permettait une fluidité sans égal !) et son manque d’impression de vitesse (mais moi je le trouvais pourtant speed !)
Mais cette analyse est celle de F-Zero GX et donc nous allons sans plus tarder commencer cette revue du jeu le plus rapide du Gamecube !
La première chose qui choque (dans le bon sens du terme) est la 1ère image du jeu : on y voit le logo de Nintendo et sous celui-ci celui de Sega ! Voici donc un fruit de l’alliance Nintendo / Sega inaugurée grâce à la carte Triforce.
Ensuite, on a un écran titre où on voit le replay d’une course rendue avec le moteur du jeu (mais j’y reviendrai…).
Le menu est bien pensé et surtout a un style très futuriste, c’est tout ce qu’on lui demande !
Voilà LE gros point fort de ce jeu : au revoir les graphismes pauvres de la 64, maintenant on est sur Gamecube et cela se voit ! On ne sait plus où regarder tellement c’est beau : Quel que soit le circuit pris, on a vraiment une très grande qualité graphique !
(Mais bon en course on n’a plus le temps de voir ces détails car on a un seul objectif : finir premier !)
Toutefois un défaut qui est minime mais bien présent : on observe un léger clipping durant les courses mais bon il n’est pas trop visible.
Mais une telle beauté graphique devrait donc supposer une fluidité moyenne ? QUE NENNI ! Le jeu tourne à 60fps et donc on a la même fluidité que sur l’épisode 64 ! (De tout le jeu je n’ai vu qu’un seul petit ralentissement et encore je chipote fallait le voir ! ;) )
C’est donc à cause de ces graphismes splendides et cette fluidité à toute épreuve que je trouve qu’il s’agit du plus beau jeu sur Gamecube.
Aie ! Voici le seul point faible du jeu. Non pas que le son soit mauvais, les moteurs sont reproduits à merveille (Des fois on aurait même l’impression de piloter un avion de chasse !) On a des voix digitales lors des cinématiques…mais c‘est au niveau des musiques que ça coince.
En effet en tant que fan de F-Zero on était habitué à des musiques plutôt rock avec des guitares électriques à gogo bref une ambiance musicale « trash » qui allait bien avec ce type de jeu. Mais pour cet épisode on a droit à de la techno, ce qui est moins « trash » et donc qui passe moins bien vu la vitesse de ce jeu.
De là à dire que les musiques sont mauvaises, non, elles sont juste pas rock c’est tout !
Il hérite de la maniabilité de son grand frère et donc cela est parfait !
Boutons :
A : accélérer (jamais relâché ;) )
B : freiner (jamais utilisé)
X : attaquer
Y : booster (tout le temps utilisé)
Z : attaque circulaire
L et R : pour mieux tourner dans les virages
PAD : pour changer de vue
Tout se contrôle à merveille et comme d’habitude si vous êtes trop rapide dans les virages votre vaisseau va glisser et donc il faudra le redresser avec L ou R !
Et oui on a accès à un mode Story (« histoire » pour les non anglophones…) et donc je vais vous le décrire :
Le gentil Captain Falcon va devoir arrêter le méchant Black Shadow qui est lui-même…STOP !
Bon c’est pas un scénario digne d’un SquareSoft (ou plutôt devrais-je dire SQUARENIX) mais bon il a le mérite d’exister et donc de nous rallonger la durée de vie, ce qui n’est pas pour nous déplaire ! Surtout qu’avant et qu’après les missions on a droit à de superbes cinématiques.
Alors là comme on dirait dans « Scary Movie » : « c’est de la bonne ! »
Entre le mode Grand Prix qui compte 4 modes de difficulté (à partir du 2ème ça devient dur ; Le 3ème est très chaud, quant au dernier c’est la folie !) et le mode Story qui lui compte 3 modes de difficulté, vous serez servis… (Dès le 1er mode de difficulté c’est surtendax dans le mode Story, contrairement au mode Grand Prix, donc imaginez le dernier niveau de difficulté…)
Sont également disponibles :
– Un mode Customise qui permet de créer le vaisseau de ses rêves (ainsi que l’emblème qui va avec !)
– Un mode Time Attack avec le retour des « staff ghost » (en gros des temps préenregistrés super durs à battre)
A chaque mode complété, on acquiert des crédits (du blé quoi !) qui permet de débloquer des nouveaux vaisseaux, des nouvelles pièces de vaisseau, des staff ghost, des chapitres du mode story, des musiques alternatives…
Pour faire bref on a affaire à une très grande durée de vie mais elle est en partie due à une difficulté très élevée qui risque d’en rebuter plus d’un ! (mais moi je considère ça comme un plus)
une telle alliance devait nous donner une pure merveille, et c’est le cas !
C’est un mélange parfait : on garde que ce qui est bon et on corrige ce qui est mauvais sauf… enfin vous le savez déjà !
Le rendez-vous pour les joueurs européens est donc pris : le 31 octobre est une date importante pour vous !
Des graphismes de folie!
Une fluidité de folie!
Une vitesse de folie!
Une maniabilité de folie!
Une durée de vie de folie!
Mon vaisseau perso de folie!
Une difficulté de folie!
Les musiques, c’est pas la folie…
Par Ciol
Le 26 septembre 2003 | Catégories : Analyses
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