La, la, la, la, la le sexe qui chante !
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Super Mario Sunshine (NGC)
Analyse de Super Mario Sunshine
Après un Luigi’s Mansion complètement loufoque, c’est au tour de Mario de venir animer les journées du Cube.
120 Shines, une aventure ensoleillée, polluée, bienvenue à bord de Super Mario Sunshine. Excellente ambiance, veuillez prendre place…
Ils sont très beaux, mais un poil en dessous d’un Luigi’s mansion. Cependant, ils sont plus subtils, il y a plus de détails. Il n’y a qu’à regarder l’eau, on ne peut pas faire mieux ! Bref un régal pour les yeux !
Les musiques sont entraînantes, rythmées, elles collent parfaitement à l’ambiance et les clins d’oeil aux anciens épisodes sont infinis de même pour les bruitages. Un pur régal sonore.
Voilà la perfection ! C’est extrêmement rare qu’un jeu soit autan jouissif de par sa maniabilité. On voit là tout le savoir faire de Miyamoto qui est à mon goût, le meilleur homme pour faire des jeux vidéo. A pour sauter, combiné à un maximum de petites actions pour un maximum de sauts. En effet des sauts, il y en a mais alors plein, et chacun est utile. De plus, la pompe à eau vient se greffer là dedans et permet ou de flotter un peu en l’air après un saut, de décoller telle une fusée, ou de se propulser comme un moteur et bien sûr à gicler les insulaires ! B pour différentes actions tel que la glissade. X pour changer la fonction de la pompe à eau. Y pour passer en vue subjective. Z pour la carte. L pour combiner à 2-3 boutons notamment pour les sauts. R pour utiliser la pompe. C pour la caméra, et là, elle est excellente. Certes manuelle mais il n’y a rien de mieux pour jouer que de mettre là où cela nous paraît le plus logique. Bref, que du bonheur en jouant à ce petit bijou.
Mario est décidé à prendre des vacances et quand il arrive sur l’île Delfino, il est accusé de l’avoir polluer et est condamné à la nettoyer.
Assez longue, mais on regrette vraiment qu’il n’y ait que 8 stages. Franchement, j’aurais nettement préféré beaucoup plus de stages avec moins d’épisodes car à la longue, les stages sont toujours les même et on s’en lasse. De plus l’histoire est assez courte et ces 120 Shines n’ajoutent rien au jeu car la quête de tous les avoir est absolument fastidieuse. Non mais, on doit récolter toutes les pièces bleues pour en arriver au bout, mais personne n’a envie de faire un truc pareil. Bref, là c’est la déception comparé à un Mario 64 qui était vraiment plus long.
La quête des 120 Shines n’est qu’un prétexte pour rallonger la durée de vie qui n’est pas superbe. Déception.
– Graphismes détaillés
– Musique envoûtante
– Immersion totale
– Jouissif
– Ambiance incomparable
– Trop court !
– Quête des 120 shines complètement inintéressante
Par LeKing56
Le 25 février 2003 | Catégories : Analyses
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