La boucle de gameplay est simple et cool. Vais faire un test COVID pour clarifier cette perte de goût
- mecton qui lance Sonic Frontiers
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Turok II: Seeds of Evil (GBC)
Analyse de Turok II: Seeds of Evil
Le second volet de l’indien/chasseur de dinosaures arrive. Entre plate-forme et shoot’en all à la Doom ou Duke Nukem, ce soft est assez amusant mais a du mal à faire oublier ses défauts. Un maître mot: diversité.
Diversité dans les graphismes… Si l’animation du perso n’est pas mal du tout, certains ennemis sont laids. Les cinématiques ne cassent pas des briques, et sont même parfois franchement ratées, surtout quand on pense que Turok est aussi un manga. Malgré tout, les niveaux à dos de dinos, sur un canoë ou même à pied, façon doom-like laissent place à une "3D" très bien gérée.
Diversité dans les sons… Les sons sont énervants, mais pas plus que n’importe quel autre jeu Game Boy, en fait. Les musiques accrocheuses laissent place à une certaine lassitude après quelques heures de jeu. Mais les thèmes sont divers et sympathiques.
Diversité dans la jouabilité… Les phases de plate-formes font preuve d’une jouabilité approximative et inadaptée. Il est dur d’éviter les ennemis et dés que ceux ci vous ont attrapés, vous êtes obligés de voir vos points diminuer sans rien pouvoir faire. Mais les scènes originales de shoot’em all sont mieux faites, si l’on excepte les tirs qui partent n’importe comment.
Donc, nous avons là à faire à un jeu qui est certes amusant, qui saura vous tenir en haleine un bon bout de temps, qui ravira les adeptes de plate forme, mais qui est encore trop approximatif et trop difficile pour conquérir un plus large public. C’est bien dommage car de bonnes idées sont à noter, ce qui est assez rare dans le monde de la petite portable.
Par BuXoM
Le 26 novembre 2000 | Catégories : Analyses
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