Mario Artist (N64)

Impressions à E3 – En marchant dans le toujours très populaire kiosque de Nintendo, cela aurait été facile de manquer ce petit démo isolé contenant la seule copie du programme Mario Artist à E3. Donc, je passais devant l’incroyable Smash Brothers et l’humoristique Mario Golf, puis la horde de personnes attendant impatiemment de botter le c*l de Pikatchu et je l’ai finalement aperçu. La scène sous-marine de Mario Artist. Devant mes yeux, il y avait un magnifique dauphin, avec une animation d’une fluidité incomparable. Rapidement, J’ai pris la manette et j’ai écouté les instructions du représentant de Nintendo pour me guider au travers des menus japonais. J’ai été agréablement surpris par ce que j’ai vu.

Il y a avait trois environnements retrouvés sur la disquette 64DD, la scène sous-marine que j’ai énoncée plus haut, un monde de dinosaures et finalement, un tableau spatial. Les graphiques retrouvés dans les trois sont tous impressionnants. Celui du monde des dinosaures démontre un T-Rex marchant, buvant de l’eau et donnant la frousse aux autres dinos. Aussi, la musique relaxante et bien orchestrée ajoutait une très bonne atmosphère au fils de Mario Paint.

Nintendo fait simplement tout ce qu’elle a et tout ce qu’elle devait faire pour bien réussir à produire une suite à la version sur SNES (comme si un programme de dessins peut avoir une suite)! On pouvait prendre les modèles 3D, prendre leurs textures et les repeindre avec la gamme d’outil qui nous est offert. Puis après, vous pouvez remettre l’animal dans son habitat virtuel avec des Nintendojo RULES tatoués un peu partout sur leur corps.

Malheureusement, C’est tout ce que j’ai pu faire étant donné que je me suis fait accrocher pour pouvoir aller jouer à Perfect Dark et trouer le corps de mes collègues. Mais, lorsque les lumières se furent éteintes, que la musique se fut arrêtée, que toute les demoiselles se soient rendues aux parties post-E3 et que j’étais de retour, seul dans ma chambre, je pensais à Mario Artist…Je pensais à Mario Artist et j’ai commencé à pleurer. J’ai pleuré à cause de la beauté de jeu; la beauté des nouvelles que j’aurais pu faire et l’environnement intensif retrouvé dans le jeu. Puis j’ai encore pleuré puisque je me suis rendu compte du nombre de personnes qui passaient devant s’en même jeter un coup d’oeil. Mario Artist, je t’aime !