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Ogre Battle 64 (N64)
Un succès, une réussite disaient-ils. Ogre Battle 64, développé par Quest, en péninsule nippone, est le troisième de la franchise. Nintendo prévoyait publier le jeu mondialement, mais après plusieurs soubresauts, le grand «N» à eu froid au pied. Après une inflation démente du prix des droits de publication, Atlus a été désigné comme successeur pour récolter les fruits prévus pour la fin de l’année.
Vous imper sonnez Magus Gallant, récemment promu à la garde officielle de Palatinus, un petit royaume menacé dans sa quête pour vaincre le puissant Empire Sacré Lodi. Tout au long de cette longue aventure, vous rencontrerez plusieurs gens, dont quelques personnes qui vous offriront leur aide. Malgré que le côté de jeu de rôle soit présent tout au long de l’histoire, l’action se situe plus particulièrement sur les champs de bataille. À l’Européenne, vous devrez combattre de gargantuesques armées et certains ennemis extra naturels.
La magie sera au rendez-vous. Incantations, sortilèges et sors seront à votre disponibilité, par contre, en quantité limitée. Comme dans les épisodes précédents, plusieurs personnages feront tour à tour apparition sur votre terrain de guerre afin d’y laisser sa marque.
Ogre Battle 64 est fabriqué de graphiques en deux dimensions. Les images de format .jpeg ont été compressées et, immanquablement, cela laisse sa trace. Les arrières-plans sont parfois embrouillés, à ce que l’on a pu constater sur la version déjà sortie au Pays du Soleil Levant. L’anime japonaise y est présent ; les différents combattants ont une tête énorme et leurs yeux prennent plus que la majorité de la figure. Malgré tout, on nous dit que le tout est remarquable.
Seulement parce qu’il est le troisième RPG à fouler la bibliothèque moins qu’épatante du N64, serait une raison pour investir dans Ogre Battle 64: Person of Lordly Caliber. Cependant, le jeu a obtenu des accolades de la plupart des grands gourous de l’industrie, notamment pour son gameplay qui offre une expérience des plus rafraîchissante. Malheureusement, aucun éditeurs ne s’est pointé le bout du nez en Europe. Espérons pour nos cousins du trio francophone (France, Suisse et Belgique) du vieux continent qu’une compagnie illuminée voudra bien mettre en marché ce jeu plus que prometteur.(cp)
Par Carl_Pruneau
Le 16 novembre 1999 | Catégories : Aperçus
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