Chui sur qu'il cache des armes, de la drogue et des liasses de billet dans son sac a dos bleu.
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The Legend of Zelda: The Wind Waker (NGC)
C’est samedi, le 29 mars 2003. Quand le soleil c’est levé, ce matin il y avait des nuages. La pluie s’est aussi levée de bonne heure. C’était sombre, une ambiance parfaite. J’ai fait mes besoins (comme n’importe quel autre gars qui se lève le matin) et ensuite suis revenu après avoir pris mon contrôleur GameCube tout en m’assoyant sur la chaise en même temps que je met mon moniteur sous tension. Une percée de soleil envahie l’écran et ça y est, le logo de « The Legend of Zelda : The Wind Waker » apparaît devant moi.
Ô Grand Shigeru Miyamoto, qu’avez-vous donc accomplis d’incroyable encore? C’est simple, tout bonnement un autre Zelda qui va tout casser penserez-vous. Et non vous n’avez pas tort. Une présentation sympathique, plutôt simple quand on y pense mais qui reste dans l’originalité. Les menus sont familiers, comme à l’accoutumé, rien de bien compliqué. La première fois que j’ai commencé la partie, que j’ai lu l’intro de l’histoire et que j’avais enfin le contrôle du héros légendaire, c’est comme si l’adoption c’était faite sur le moment. Tellement une des plus agréables surprises, une nouvelle technologie incroyablement bien maîtrisée, comme seulement Nintendo sait le faire. Metroid Prime nous épate mais Zelda : TWW vous époustouflera. C’est mieux que tout ce dont j’aurais pu imaginer. Et j’espère que Nintendo le sait, qu’il sache que ce qu’il vient de mettre au monde n’est pas une blague. C’est une œuvre pour nous plaire nous les gamers, assoiffés comme nous le sommes tous.
La musique est aussi très bien réalisée mais là où elle colle parfaitement au gameplay est sans aucun doute quand vous vous aventurez dans les donjons. Une ambiance à faire retourner les mort-vivants de Maximo dans leur tombe! Quelle superbe musique! Très propriétaire à Zelda, plus grande qu’une réalisation de musique de film. C’est bien organisé, j’en ai encore du mal y croire.
Jusqu’à présent, les énigmes sont d’une originalité très intelligente. Même si on a parfois l’impression d’avoir déjà fait beaucoup de choses dans Ocarina of Time, The Wind Waker est nul doute le Zelda qui nous séduit le plus vite d’entre tous. L’ingéniosité derrière les ficelles nous fait déjà mourir d’envie de refaire la partie après avoir terminé le boss de fin. Le classique, le plaisir pur et simple, la gloire. Merci Nintendo, merci milles fois!
Je n’ai plus de mots pour l’instant car je ne peux malheureusement plus me concentrer. Mais quand toute cette aventure sera terminée, je suis convaincu que Zelda : The Wind Waker sera finalement mon jeu préféré.
Par SaMuS
Le 29 mars 2003 | Catégories : Aperçus
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