Oyez oyez !
En cette semaine de Saint Valentin, Nintendo a donc choisi de ressortir Bayonetta 2 sur Switch (accompagné d’un code pour télécharger Bayonetta 1… point de version physique pour ce jeu. Buhuhu :( ).

Pour nos chers (et chères) aimé(e)s lecteurs et lectrices qui se demanderaient à quoi peut bien ressembler ce collector (et surtout le bordel qui l’accompagne), voici un petit topo-photos sur le machin.

Commençons par… la boîte !
Vue de devant :

Et vue de derrière  :
(attention au logo « Sega », ça peut énerver les plus intégristes d’entre-vous)

Et comme le dirait Brad Pitt à la fin de Se7en… « Mais qu’est-ce qu’il y a dans la boîîîîîte ???! »
Et bien… Une autre boîte.
En tant qu’expert, on parle ici de Boîteception.

Dans cette deuxième boîte nous trouvons alors le truc accompagnant les goodies pour lesquels nous avons acheté ce collector, à savoir le jeu.
Ça donne au passage une échelle de taille pour la boîte. Ose dire que c’est pas un unboxing de qualité que t’es en train de lire là !

Continuous de creuser dans la boîte.

Oh mais c’est quoi donc ?

Et oui. Un bien beau steelbook.
Nous autres docteurs es Reverso parlons plus communément de « full métal jaquette ».

Quand soudain, une trappe secrète.

Sous laquelle se trouve une enveloppe.
Oh mon dieu ! Serait-ce enfin ma lettre d’admission à Poudlard ?

Cruelle désillusion : de simples autocollants.

Les yeux les plus attentifs auront repérés plus haut une autre boîte sous l’enveloppe.
Boiteception de niveau 3 !
Et c’est quoi donc qu’il y a dedans ?

Des cartes de tarots !

Tu veux toutes les voir ?
Le dojo est à ton service.
Les voici donc étalées.

C’est très malin… Tu viens de crever que tout cet unboxing a été fait sur une belle planche à repasser.
D’ailleurs, je vous laisse ! On verra le jeu plus tard.
J’ai des chemises à m’occuper. #SaintValentin.