Hallucinons sur les premiers jeux de la Dolphin…

Si jamais vous étiez choqués par les propos qui vont suivre, nous nierions avoir eu connaissance des agissements de ce taré.

ATTENTION : cet article a été écrit par un fou en cavale, pervers, misogyne et visionnaire, qui n’a de rapport avec NintendojoFR que le fait d’avoir été publié sur notre site. Si jamais vous étiez choqués par les propos qui vont suivre, nous nierions avoir eu connaissance des agissements de ce taré. Merci par avance pour votre compréhension.

Mario, new age of heroes

Comme Shigeru Miyamoto nous l’a promis, notre ami plombier et son frère Luigi entament leurs nouvelles aventures avec un visage plus adulte. La puissance de la machine nouvelle génération de Nintendo permet de donner à la moustache de Mario un aspect presque réel. Mieux, au fur et à mesure de leurs péripéties, les deux frères se salissent, les gants de Mario noircissent, les moustaches retiennent les restes des anciens repas…

De même, au niveau des décors, c’est grandiose, avec des polygones trop nombreux pour être compter ! Finalement, ce jeu est un perle, avec une fin de haut calibre pastichant sans sourciller un passage culte de "Orange Mécanique", ainsi qu’un autre moment tout aussi mémorable de "Seven" (la fin pour être plus précis)… Le premier jeu culte de la Dolphin ! A noter cependant quelques scènes d’une rare violence où l’on voit par exemple Mario sauter sur la tête d’un goomba en train de dormir ! Soulignons aussi que dans cet opus, la princesse n’est plus qu’une entraîneuse de Football… Et d’autre chose.

Killer Instinct FC (Final Chapter, et non pas Football Club)

Evidemment développé par Rare, KIFC donne un nouveau souffle de vie au genre du jeu de combat. Ainsi, on note un jeu beaucoup plus technique que les premiers KI, mais aussi que des jeux comme Tekken ou Dead or Alive ! Par exemple, Cinder (de retour) doit être joué pendant de nombreuses semaines pour enfin gagner un combat. La "Torche Humaine" est un des coups les plus durs à sortir jamais créé. Néanmoins, les Fatalities et autres brutalities sont encore là, avec même une nouvelle catégorie de finish très réussie et originale: les "faussesblaguies". Le nom est assez évocateur…

Pour vous résumer cette méthode de mise à mort, sachez que le personnage qui exécute ce coup meurt lui aussi. En effet, lorsque l’on sort une "fausseblaguies", le personnage alors contrôlé fait une blague (il en a 5 de base, avec différentes touches pour les effectuer) tellement mauvaise que non seulement l’adversaire meurt de peur face à la connerie de son opposant, mais en plus l’autre personnage s’envole emmené par le vent causé par sa blague, et explose arrivé dans l’espace. A notez la participation exceptionnelle de Cyrare qui a fourni une bonne partie des-dites blagues… Ce jeu est proclamé par tous meilleur jeu de baston de tous les temps, et les spécialistes du ‘vent’ sont ravis. Pour vous une des boutades du jeu :

"Spinal : Monsieur et Madame Quifait Lavaisselle ont un fils, comment s’appelle t’il ?

Orchid : Je ne sais pas… ?

Spinal : VLADIMIR ! ! ! ! Parce que VLADIMIR Quifait Lavaisselle ! ! ! ! !

— vent —

Narrateur : DOUBLE KO ! ! ! !"

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2160° Snowboarding, featuring a lot of cannabis

Dans la suite du meilleur jeu de Snowboard jamais créé, peu d’innovations sont relevables si ce n’est une qualité graphique inconnue jusqu’alors ainsi qu’une animation encore meilleur que dans 1080°. Notez tout de même que désormais les courses se passent entre 500 concurrents sur des pistes longues d’au minimum 50 km : une course se finit en 2 jours, mais des sauvegardes ainsi que des bières sont disponibles dans des refuges.

Ah oui, j’allais oublier de vous dire qu’une option permet de customiser son snowboarder, et que l’argent amassé en gagnant des courses vous permet d’acheter à votre représentant virtuel des joints, voire même plusieurs kilos de cannabis (à la fin du jeu seulement). Bien entendu, l’effet de fumée est saisissant de réalisme, et une scène cinématique met en valeur la séance "je pars en live" des snowboarders. Enfin, et c’est le plus surprenant, lorsque vous achetez ce jeu, 10 grammes de teuch vous sont remis en cadeau. Nintendo n’a pas fini de nous épater… Chose étrange tout de même, ce jeu coute 1000 Francs…

Resident Evil – Generation Next –

Capcom revient en force sur une machine Nintendo, et nous délivre un nouvel épisode de sa série fétiche : Resident Evil – Generation Next -. Dans cet opus, vous devez parcourir le monde à la recherche de cinq chanteuses réputées ayant volé un échantillon du S-Virus (S pour Stupide) qui s’attaque au cerveau des femmes (rahlalala, Capcom et ses scénarios mal foutus : les femmes n’ont pas de cerveau…) et les transforme en êtres dénués de sens logique. D’ailleurs, il s’avère que les chanteuses se sont auto-contaminées…

Au programme, en plus d’une réalisation incroyable (avec des personnages, ennemis ou pas, comportant plus d’un million de polygone rien que pour le visage !), on a droit à des musiques signées Marylin Manson et à un nombre impressionnant d’armes innovantes. Le long du parcours, vous éliminez les chanteuses, ainsi que leurs hordes de groupies-zombies bien décidées à vous forcer à écouter l’album "Generation Next", d’où le titre du jeu…

Communication 2, the back of the return but… no, it’s the first game

Pour finir, Communication 2, le seul jeu original à sortir en même temps que la console. Dans ce chef d’œuvre signé vous l’aurez deviné Shigeru Miyamoto, vous devrez apprendre à communiquer avec les représentants de Famille de France (pour la version US, Famille de France est remplacé par un président anti-jeux vidéo), sans leur dire "Bande de blaireaux", "Sales illuminés" ni "Et mon poing dans ta gueule, il est violent ?". Bien entendu, un niveau bonus est débloquée lorsque vous finissez le jeu : un Doom-Like simplifié, avec des gens appartenant à l’association "Famille de France". La seule arme disponible, le magnum, est très imprécise, mais les personnes de Familles de France ont tellement la grosse tête que ce défaut ne gène pas beaucoup.

Comme c’est un jeu Miyamoto, il n’y a pas de sang, et quand un membre de l’association est touché, il dit juste "je suis un idiot, vive les jeux vidéo". Jouable à 4, ce niveau bonus est à lui même un chef d’oeuvre, et se pose en tant que maître incontesté du jeu en multi joueur sur Dolphin… Rare repousse d’ailleurs son Perfect Dark Dolphin peu après la sortie de "Communication 2, the back of the return but… no, it’s the first game", afin de peaufiner son travail, et tenter de rivaliser avec ce hit interplanétaire.