V7 : Le projet du siècle | Partie 5 : Le mot de la fin
Préambule
Enfin révélée aux yeux du monde, la V7 ne s’est pas faite en un jour, et le présent document vise à vous présenter son histoire telle qu’elle a été vécue par ceux qui l’ont faite. A travers cette succession de témoignages aussi exaltés qu’exaltants, un merveilleux voyage naviguant entre l’exceptionnel et le magnifique s’offre à vous, un voyage qui vous permettra de plonger dans les entrailles d’un mythe, un voyage qui vous entraînera dans les coulisses de ce qu’il convient raisonnablement d’appeler le projet du siècle. Un reportage par notre envoyé spécial : Rom Vat.
Au sommaire :
1. Se battre pour vivre
2. Le moteur du monde
3. Administrer pour rêver
4. La parole aux stars
5. Le mot de la fin
Les pyramides d’Egypte, les statues de l’île de Pâques, les immenses dessins des Nazcas : il est des œuvres qui dépassent notre imagination et dont on a du mal à croire qu’elles soient le fait de la civilisation humaine. Le projet que nous allons évoquer ici appartient lui aussi à cette lignée de réalisations hors du commun ; ce projet, c’est la version 7 de NintendojoFR, mieux connue sous ce nom sibyllin : V7. Dans la série » Les chefs d’œuvre de l’humanité « , les productions du Vatican sont fières de vous présenter :
V7 : Le projet du siècle
5. Le mot de la fin
Cyrare, Project Head Manager
« S’il fallait conclure, je dirais que la V7 m’a fait vibrer. Travailler en équipe, sentir des milliers de personnes mobilisées autour d’un objectif commun, c’est vraiment une sensation incomparable. Pour moi la V7, c’est comme la tour de Babel, sauf que nous on a réussi, on l’a faite cette tour géante, et je remercie Benoît XVI sans qui rien de tout cela n’aurait été possible. Maintenant, on a fini, et je vous cache pas qu’on est claqué. Des idées pour la V8 ? Qui sait… Mais pour l’instant, ce n’est pas à l’ordre du jour. Non pour l’instant, j’ai réservé une chambre pour une durée indéterminée dans un bordel de Saigon dont on m’a dit le plus grand bien. Comme on dit, après l’effort, le réconfort – et après un gros effort comme ça, on a besoin d’un gros réconfort vous savez ! (rires) »
Les productions du Vatican tiennent à remercier…
(par ordre d’apparition)
Cyrare, dans le rôle de Cyrare
« La V7, j’entends souvent dire que c’était de la grosse balle, et ce n’est pas faux, mais c’était aussi et surtout une aventure humaine, une aventure d’hommes ! »
John Major, dans le rôle de Jean-Paul Sergent
« Je peux passer une dédicace ? Oui, vraiment ? Alors je voudrais dire bonjour à ma femme, à mon chien, et à Bubu, un ami qui se reconnaîtra. »
Raymond Barre, dans le rôle de Jean Blondin
« Puisque c’est l’heure des confessions, je peux bien vous le dire : toute ma vie j’ai rêvé d’être une hôtesse de l’air, mais on m’a toujours répondu que je n’avais pas le physique. Et puis c’est vrai, je suis un homme… »
Le type cool, dans le rôle de Jean-Louis Maurice
« Souvent les filles me disent que je suis un type cool, et les garçons me demandent quel est mon secret. Mais le secret, c’est qu’il n’y en a pas. Il faut juste être soi-même, c’est ça le secret, s’accepter comme on est. »
L’homme au casque blanc, dans le rôle de Jean-Patrick Bourgeois
« Quand je vois les jeunes aujourd’hui, je me dis qu’ils sont vraiment géniaux. L’ordinateur, le fax, le minitel, ils connaissent tout ça par coeur. J’aurais vraiment aimé appartenir à cette génération. »
Helmut Kohl, dans le rôle de Jean Foucheau
« Pour moi, Cyrare est plus qu’un ami, c’est un pote, un frère, non, c’est plus que ça, c’est le petit ami que je n’ai jamais eu. »
Ronald Reagan, dans le rôle de John W. Smith
« C’est le jour où j’ai assisté pour la première fois à un concert d’Alizée que j’ai compris ce que je voulais faire dans la vie. »
David Lynch, dans le rôle de Jean-Claude Peursot
« Une entreprise sans management, c’est comme un lit sans matelas : on peut dormir dessus, mais ça fait mal. »
Robert Hue, dans le rôle de Jeanne Petitefrance
« Changer de sexe, ça a vraiment changé ma vie ! »
L’homme invisible, dans le rôle de Jean-Pierre Mafrost
« La science, c’est pas un truc pour les guignols. Tous les guignols qui se prétendent scientifiques, ils ont qu’à venir me voir, et je leur péterai la gueule ! »
Le dépeceur de l’Albigeois, dans le rôle de Jean-Didier Goupil
« Allez on est entre nous, je vous en raconte une petite… Vous savez comment on appelle de vieilles lesbiennes ? Des gouinosaures ! Ahahah ! C’est vraiment ma blague préférée! »
Le sosie d’Elise Lucet, dans le rôle de Jeanne-Yvonne Lagrange
« La photogénie, il ne faut pas croire que c’est 100% naturel, c’est un truc qui se travaille. »
Jack Nickolson, dans le rôle de Jean-Bobby Salomon
« Une bonne blague c’est comme un bon camenbert, on s’en lasse jamais ! »
Guy-Manuel De Homem Cristo, dans le rôle de Jean-Charles Discovery
« Je suis gay et je l’assume complètement. Reggie, si tu m’entends… »
Regginator, dans le rôle de Reggie
« Quand je bossais sur la V7, j’avais remarqué que certains me faisaient de l’oeil, notamment Jean-Charles Discovery. Mais que ce soit bien clair : ce n’est absolument pas mon genre d’homme. Non, moi je préfère les types cools, des types comme Jean-Louis Maurice quoi. »
Bill Gates, dans le rôle de Bill Gates
« Depuis bientôt 30 ans que je suis dans le métier, j’en ai vu passer des types charismatiques. Mais alors des bien roulés comme Cyrare, ça,… »
L’inspecteur Derrick, dans le rôle de Nicolas Sarkozy
« Une aventure d’un soir avec une saucisse, il n’y a pas qu’en me rasant le matin que j’y pense… »
François Hollande, dans le rôle de Céline Dion
« La V7 en un mot ? Royale ! »
Nicole Kidman, dans le rôle d’Yvette Horner
« Les gens m’imaginent souvent comme une femme élégante, mais en réalité je suis comme toutes les Australiennes, je n’aspire qu’à boire des bières et à rouler sous la table ! »
Par ailleurs, nous tenons à dédier ce document à Benoît XVI, avec lequel nous avons eu tant de plaisir à travailler et qui nous a tragiquement quittés alors que nous étions (déjà) en phase de post-production.Benoît aurait aimé lire ces lignes, il s’était investi corps et âme dans ce travail, comme à son habitude du reste, en grand professionnel qu’il était. Benoît, où que tu sois, on sait que tu nous regardes de là-haut, et sache qu’on pense toujours à toi.