[Charts] Top des ventes au Japon du 28 juin au 3 juillet

Brain Training frappe par deux fois.

Une belle brochette de nouveautés cette semaine, qui nous fait le plaisir de monter les scores vers le haut, avec 5 jeux au dessus de la barre des 50 000, ça faisait longtemps. Voici donc les meilleures ventes de consoles et jeux vidéo au Japon, selon Media Create, et ce du 28 juin au 3 juillet.

Raté pour Gundam qui, tout en réalisant un score honnête, ne parvient pas à réellement se démarquer. La série semble bel et bien en sérieux déclin, après l’échec de One Year War. Prochaine tentative pour Bandai avec Mobile Suit Gundam Seed Destiny, début août. Logic Puzzle, quant à lui, rempli parfaitement son contrat en marchant dans les traces de Brain Training. Pour le coup, il s’offre même une première semaine mieux réussie que ce dernier, qui avait démarré à 42 509 exemplaires. Le reste est sans surprise, si ce n’est un Jissen Pachi-Slot sur PSP qui fait mieux que son équivalent l’avait fait sur DS (8 209 exemplaires), sachant que ce dernier était sorti un samedi, là où cette version PSP est sortie le jeudi. Notons tout de même le bide de Momotarô Dentetsu G, classé 18ème, l’absence totale de Homeland, sorti en magasin le 30 juin, dans le top 50, ou encore la disparition de Super Mario 64 DS du top 50, qui le quitte pour la première fois depuis sa sortie, en décembre dernier.

Retour à la normale après le sursaut de la Game Boy Advance SP la semaine dernière. La DS gagne alors du terrain sur la PS2 avec désormais plus qu’une semaine de retard à combler, ce qui, si ce n’est pas fait d’ici là, se rattrapera aisément avec la sortie de Jump Super Star et du nouveau coloris, rouge.

C’est le grand test pour Sega la semaine prochaine avec Sakura Taisen 5. Après les joies procurées par le tout neuf succès de Mushiking, la compagnie a de quoi espérer pour ce qui est censé être une de ses sagas mère en matière de ventes. Quant à Namco, c’est la seconde tentative Katamary Damacy. Ce jeu où l’on fait évoluer dans un environnement 3D une boule, dont le but consiste à se coller à un maximum d’objet pour constamment grossir, partant de la possibilité d’absorber de simples cailloux, à absorber de gigantesques immeubles. Le genre de jeu assez fou, dont rien que la jaquette de cette suite, mettant en scène les développeurs du jeu devant leurs bureaux, prouve la marginalité de l’oeuvre.